Face à la hausse des prix de l’énergie et à l’urgence climatique, les solutions permettant de produire et consommer directement son électricité séduisent de plus en plus. Parmi elles, l’autoconsommation individuelle s’est imposée ces dernières années comme une alternative innovante. Mais concrètement, qu’est-ce que l’autoconsommation individuelle ?
L’autoconsommation individuelle consiste à produire sa propre énergie, généralement grâce à des panneaux photovoltaïques, pour répondre à ses besoins. Ce modèle permet de réduire sa dépendance aux fournisseurs d’électricité traditionnels tout en réalisant des économies significatives sur sa facture. Plus encore, il s’inscrit dans une démarche écologique en favorisant une énergie verte et locale.
Cependant, avec l’émergence de l’autoconsommation collective, une nouvelle dynamique est apparue. Ce modèle va bien au-delà de l’approche individuelle en permettant une redistribution plus large de l’énergie produite, une meilleure valorisation des surplus et un impact économique accru pour tous les participants.
Cet article se propose de démystifier l’autoconsommation individuelle en répondant aux questions fréquentes : Comment fonctionne-t-elle ? Quels en sont les avantages et les limites ? Comment la mettre en place et optimiser son efficacité ? Nous explorerons également les différences avec l’autoconsommation collective et pourquoi cette dernière ouvre des perspectives encore plus ambitieuses pour l’avenir de la transition énergétique.
L’autoconsommation individuelle, qui a fait son apparition il y a quelques années, a constitué une initiative intéressante pour maximiser l’usage des énergies renouvelables. Cependant, l’autoconsommation collective permet d’aller bien plus loin : elle ouvre la voie à des synergies locales, à une valorisation optimisée de l’énergie produite.
Le fonctionnement de l’autoconsommation individuelle
L’autoconsommation individuelle repose sur un principe simple mais puissant : produire soi-même une partie ou la totalité de l’électricité que l’on consomme en temps réel grâce à des énergies renouvelables, principalement le solaire. Cette pratique est rendue possible grâce à des équipements performants et à un système de gestion de l’énergie de plus en plus accessible.
Comment ça marche concrètement, l’autoconsommation individuelle ?
Le cœur du système repose sur les panneaux photovoltaïques, généralement installés sur le toit d’une maison individuelle. Ces panneaux captent l’énergie solaire et la transforment en électricité. Cette énergie, une fois convertie en courant alternatif grâce à un onduleur, est immédiatement utilisée pour absorber une partie ou la totalité de la consommation. Cette vidéo ludique produite par EDF explique très bien le principe. Lorsqu’un surplus d’électricité est disponible (par exemple, en journée, lorsque la production est maximale et la consommation faible), celui-ci peut être soit injecté sur le réseau électrique pour être revendu à un tarif réglementé, soit stocké dans des batteries pour une utilisation ultérieure.
Un exemple concret pour une maison individuelle
Imaginons une maison individuelle équipée de 10 panneaux photovoltaïques produisant environ 3 500 kWh par an, soit la moitié des besoins énergétiques moyens d’un ménage français. Pendant la journée, le système alimente directement les appareils tels que le réfrigérateur, la machine à laver ou les ordinateurs. Le soir, si des batteries sont installées, l’énergie stockée prend le relais. Dans le cas contraire, la maison bascule sur le réseau pour compléter ses besoins.
Ce fonctionnement hybride permet de réduire significativement la facture d’électricité tout en contribuant à une démarche écologique. Avec une approche équilibrée et en tenant compte des impacts du stockage, chaque particulier peut atteindre un taux d’autoconsommation optimal, généralement situé entre 30 % et 50 %, voire plus avec un stockage judicieux.
Pourquoi un tel engouement autour de l’autoconsommation individuelle ?
L’autoconsommation individuelle a séduit de nombreux foyers ces dernières années grâce aux avantages financiers, écologiques et pratiques qu’elle procure. Cependant, avec l’arrivée de l’autoconsommation collective, une nouvelle étape a été franchie. Cette approche élargit les possibilités de valorisation de l’énergie produite, notamment en permettant un partage local et une optimisation des surplus, offrant ainsi des bénéfices encore plus significatifs. Nous y reviendrons un peu plus loin dans cet article.
Avantages et défis de l’autoconsommation individuelle
L’autoconsommation individuelle attire de plus en plus de particuliers, de professionnels et de collectivités en quête d’autonomie énergétique et de solutions durables. Cependant, comme toute initiative innovante, elle s’accompagne à la fois de nombreux avantages et de quelques défis à surmonter. Voici un tour d’horizon des bénéfices et des obstacles associés à ce mode de consommation d’énergie.
Les avantages de l’autoconsommation individuelle
- Réduction des factures d’électricité : Produire et consommer sa propre électricité permet de diminuer considérablement ses dépenses énergétiques. Les infrastructures équipées de panneaux solaires peuvent ainsi réduire leur dépendance au réseau public tout en stabilisant leurs coûts sur le long terme. En moyenne, une maison bien équipée peut couvrir jusqu’à 50 % de ses besoins énergétiques. Ce bénéfice s’étend également aux entreprises et collectivités, qui réalisent des économies substantielles sur leurs dépenses énergétiques opérationnelles.
- Diminution de l’empreinte carbone : En consommant une électricité propre, les ménages, entreprises et collectivités contribuent activement à la lutte contre le changement climatique. Contrairement aux énergies fossiles, l’électricité solaire ne génère pas de CO₂ lors de sa production. Cet engagement écologique renforce également l’image responsable des organisations qui adoptent l’autoconsommation.
- Indépendance énergétique : Face à la volatilité des prix de l’énergie, l’autoconsommation offre une certaine stabilité. Les particuliers, professionnels et collectivités deviennent partiellement autonomes et moins vulnérables aux fluctuations tarifaires imposées par les fournisseurs. Cela est particulièrement précieux pour les entreprises soumises à des budgets énergétiques rigoureux.
- Valorisation de l’habitat et des infrastructures : Pour les particuliers comme pour les professionnels, un système d’autoconsommation augmente la valeur d’un bien immobilier, un atout majeur lors d’une revente. De la même manière, les entreprises et collectivités peuvent valoriser leurs bâtiments en intégrant des installations photovoltaïques, qui témoignent d’un engagement pour la durabilité.
Les défis à relever pour lancer un projet d’autoconsommation individuelle
- Le coût initial de l’installation : Le prix d’un système photovoltaïque, incluant principalement des panneaux, onduleurs et systèmes de fixation, peut représenter un frein. Ce coût varie en fonction de la taille de l’installation et des équipements choisis. Pour les entreprises et collectivités, l’investissement est proportionnel aux surfaces couvertes. Heureusement, des dispositifs d’aides, la prime à l’autoconsommation ou encore les subventions locales permettent de réduire cet obstacle financier.
- La gestion des surplus : Les pics de production, souvent en journée, génèrent des excédents d’énergie. Bien que ces surplus puissent être valorisés via des batteries ou la revente, leur gestion nécessite une planification et une expertise pointues. Avec HubWatt, cette étape est optimisée pour maximiser le retour sur investissement, en identifiant les opportunités d’autoconsommation avancée les plus rentables pour chaque projet.
- Le rôle du TURPE dans le calcul de la rentabilité : En autoconsommation directe, le Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité (TURPE) ne s’applique pas, car l’énergie produite et consommée localement ne transite pas par le réseau. Cependant, pour les surplus d’énergie injectés dans le réseau ou pour l’électricité prélevée en complément de production, le coût du TURPE ( et de l’IFER= taxes ) est à prendre en compte. HubWatt intègre cette donnée dans ses analyses globales pour estimer avec précision le retour sur investissement (ROI) et les amortissements des projets. Cette approche garantit à ses clients une vision claire et transparente des gains potentiels, tout en optimisant la stratégie financière liée à leur installation.
Maximiser les bénéfices malgré les défis
Bien que l’autoconsommation individuelle implique des défis techniques et financiers, elle offre des opportunités uniques de réduction des coûts, d’autonomie énergétique et d’engagement environnemental. Dans la partie suivante, nous aborderons les étapes nécessaires pour mettre en place un système d’autoconsommation performant et adapté aux besoins spécifiques de chaque utilisateur.
Mettre en place un système d’autoconsommation individuelle renouvelable
L’installation d’un système d’autoconsommation individuelle repose sur un principe central : produire et consommer directement une énergie issue de sources renouvelables, telles que le solaire, mais aussi, dans certains cas, l’éolien ou l’hydroélectricité. Ce projet nécessite une préparation rigoureuse et un accompagnement pour en garantir le succès.
Étape 1 : Étudier la faisabilité du projet
Avant tout, une étude de faisabilité est essentielle pour évaluer les possibilités techniques et économiques du projet :
- Les besoins énergétiques : Quelle est la consommation moyenne ? Quels usages spécifiques (chauffage, appareils, processus industriels) doivent être couverts ?
- Le potentiel énergétique : Analyse des ressources disponibles sur site, comme le niveau d’ensoleillement pour le solaire ou la disponibilité d’autres énergies renouvelables.
- Les contraintes techniques : Prise en compte des spécificités liées à l’emplacement, comme la solidité de la toiture ou l’exposition, les éventuelles contraintes de chantier (accessibilité, structure existante) ainsi que la puissance de raccordement disponible au réseau. Ces éléments déterminent la faisabilité et les adaptations nécessaires pour optimiser la performance de l’installation.
- Contraintes administratives : Identification des démarches nécessaires, notamment auprès des gestionnaires de réseau comme Enedis, et des autorisations locales à obtenir. Sans oublier l’attestation de Consuel.
Étape 2 : Dimensionner le système et choisir les équipements
Chaque projet nécessite une solution sur mesure basée sur les spécificités du site et les objectifs de l’utilisateur. Les principaux équipements d’un kit solaire incluent :
- Production d’énergie :
- Panneaux photovoltaïques pour capter l’énergie solaire et la convertir en électricité.
- Systèmes de conversion et de gestion :
- Onduleurs pour transformer le courant continu produit par les panneaux en courant alternatif utilisable.
- Câbles de raccordement et mise à la terre, garantissant la sécurité et le bon fonctionnement de l’installation.
- Dispositifs de sécurité et de fixation :
- Fixations adaptées à la structure de la toiture ou au sol pour assurer la stabilité des panneaux.
- Coffret de protection pour protéger le système contre les surtensions et autres incidents électriques.
- Valorisation du surplus :
- En cas de production excédentaire, l’énergie peut être injectée sur le réseau public via un contrat de revente, permettant de maximiser les bénéfices économiques du système.
Étape 3 : Installation et raccordement
L’installation, qu’elle concerne des panneaux solaires ou d’autres équipements renouvelables, doit être confiée à des professionnels qualifiés pour garantir la sécurité et l’efficacité du système. Les étapes clés incluent :
- La pose et le raccordement des équipements de production.
- L’intégration au réseau pour la gestion des surplus ou des périodes de faible production.
- La mise en service et le réglage du système pour une performance optimale.
Étape 4 : Exploitation et optimisation
Une fois le système en place, le suivi est essentiel pour maximiser ses performances :
- Maintenance et entretien : Pour les panneaux solaires, un nettoyage régulier et un contrôle de l’onduleur assurent la durabilité et l’efficacité des installations.
- Monitoring énergétique : Grâce à des outils connectés, il est possible de suivre en temps réel la production, la consommation et les éventuels surplus.
- Optimisation de la valorisation : HubWatt identifie les scénarios les plus rentables pour les surplus d’énergie, qu’il s’agisse de revente au réseau, de partage local et multi-compteurs ou d’intégration dans un modèle collectif. Cette approche maximise l’autonomie énergétique, la rentabilité du projet et permet de créer un lien social fort entre les membres d’une opération.
Exemple concret : Un projet d’autoconsommation solaire pour une entreprise en région Nouvelle-Aquitaine
Prenons l’exemple d’une PME spécialisée dans l’agroalimentaire, située en région Nouvelle-Aquitaine, avec des besoins énergétiques élevés pour ses équipements de production. Après une analyse de faisabilité réalisée par HubWatt, l’entreprise installe 50 panneaux photovoltaïques sur le toit de son entrepôt, pour une puissance totale de 20 kWc.
L’électricité produite couvre 30 % de ses besoins en journée, notamment pour les équipements de conditionnement et les chambres froides. Le surplus, généré pendant les heures creuses de consommation, est injecté sur le réseau via un contrat de revente, permettant de valoriser efficacement cette énergie excédentaire.
Différences entre autoconsommation individuelle et collective
L’autoconsommation, en pleine croissance, se décline sous deux formes principales : l’autoconsommation individuelle et l’autoconsommation collective. Bien que ces modèles partagent le même objectif – consommer localement une énergie renouvelable – ils diffèrent par leur fonctionnement, leurs bénéfices et leurs contraintes. Comprendre ces distinctions est essentiel pour choisir l’approche la plus adaptée à ses besoins.
Définition et fonctionnement
Les deux modèles d’autoconsommation s’appuient sur la même idée : produire et consommer une énergie renouvelable en temps réel. Cependant, leur mise en œuvre varie selon qu’il s’agit d’un usage individuel ou collectif.
- Autoconsommation individuelle : définition
Ce modèle concerne une seule entité, qu’il s’agisse d’un particulier, d’une entreprise ou d’une collectivité. L’utilisateur produit et consomme directement l’énergie qu’il génère, comme dans le cas d’une maison individuelle équipée de panneaux photovoltaïques. Toute énergie non consommée est injectée dans le réseau public pour être valorisée. - Autoconsommation collective : définition
Ce modèle peut regrouper plusieurs producteurs et consommateurs situés dans un périmètre géographique défini partageant la production d’une installation commune d’énergie renouvelable. En règle générale, ce périmètre est limité à un rayon de 2 km, mais peut s’étendre à 10 ou 20 km sous dérogation, notamment en zone rurale ou peu dense. Par exemple, dans un immeuble ou un parc d’activités, les participants définissent une répartition de l’énergie produite selon leurs besoins respectifs.
Les avantages spécifiques
Chaque modèle offre des bénéfices uniques, que ce soit pour simplifier la gestion individuelle de l’énergie ou pour tirer parti de solutions mutualisées.
- Pour l’autoconsommation individuelle :
- Simplicité de gestion : La gestion technique et administrative est plus facile puisqu’elle ne concerne qu’un seul utilisateur.
- Autonomie : Chaque utilisateur décide librement de l’utilisation de sa production d’énergie en fonction de ses besoins.
- Adaptation sur mesure : Les installations sont dimensionnées spécifiquement pour répondre aux exigences d’un seul utilisateur, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise.
- Pour l’autoconsommation collective :
- Valorisation optimisée de la production : L’énergie produite peut être consommée par plusieurs consommateurs, limitant ainsi les pertes liées à l’excédent.
- Adapté aux grands ensembles : Ce modèle est particulièrement efficace dans des environnements regroupant plusieurs utilisateurs proches, comme des immeubles, zones d’activités ou bâtiments municipaux.
Pourquoi est-il intéressant de privilégier l’autoconsommation collective dans la plupart des cas ?
L’autoconsommation collective s’impose de plus en plus comme une solution optimale pour les producteurs d’énergie, qu’ils soient agriculteurs, entreprises ou collectivités. Ce modèle consiste à redistribuer une partie de l’énergie produite à d’autres structures à proximité, leur permettant ainsi de bénéficier directement de cette production locale.
Au-delà de la simplicité apparente de cette démarche, l’autoconsommation collective offre des avantages économiques significatifs pour les producteurs, notamment en accélérant le retour sur investissement (ROI) de leurs installations.
Accélération du retour sur investissement grâce à la valorisation de l’énergie produite
Pour les producteurs, l’un des défis majeurs des projets d’autoconsommation est d’atteindre un retour sur investissement rapide et attractif. Dans un modèle d’autoconsommation individuel, la valorisation de l’énergie se limite souvent à la consommation propre ou à la revente sur le réseau à un tarif réglementé, généralement inférieur au coût d’achat d’électricité. En revanche, avec l’autoconsommation collective, le producteur peut valoriser son énergie à des prix plus compétitifs auprès de plusieurs bénéficiaires locaux, tels que des entreprises voisines ou des infrastructures municipales.
Par exemple, un agriculteur équipé d’une installation photovoltaïque peut déjà redistribuer l’énergie produite sur ses différents compteurs, souvent nombreux dans une exploitation agricole (comme pour les bâtiments d’élevage, les entrepôts ou la maison d’habitation). Cela représente un avantage clé de l’autoconsommation collective, car l’autoconsommation individuelle, elle, se limite à un seul compteur et oblige à injecter le surplus sur le réseau. En élargissant ce modèle au voisinage, l’agriculteur peut également valoriser son surplus auprès de coopératives, d’entrepôts ou de commerces locaux. Cela permet d’augmenter encore ses revenus tout en stabilisant ses flux financiers grâce à des contrats locaux attractifs et maîtrisés.
Valorisation de votre énergie produite sur plusieurs sites appartenant à une même structure
L’un des atouts majeurs de l’autoconsommation collective réside dans la possibilité de valoriser l’énergie produite sur d’autres sites appartenant à une même structure ou à des partenaires proches. Cela est particulièrement pertinent pour les entreprises multi-sites ou les collectivités disposant de bâtiments distincts.
Prenons l’exemple d’une collectivité locale dotée de panneaux photovoltaïques installés sur un centre administratif. Grâce à l’autoconsommation collective, cette collectivité peut redistribuer l’énergie excédentaire à une école ou à un centre sportif situés à quelques kilomètres, maximisant ainsi l’utilisation de la production et augmentant la rentabilité globale du projet. Ce modèle s’adapte également parfaitement aux entreprises possédant des entrepôts ou des filiales proches, leur permettant de réduire leurs coûts énergétiques tout en valorisant pleinement leur production.
Prêt à reprendre le contrôle sur votre production et consommation d’énergie ?
L’autoconsommation individuelle est une solution intéressante pour franchir le premier pas vers une meilleure maîtrise de votre production et consommation d’énergie. Elle vous permet de réduire vos coûts et d’accroître votre indépendance énergétique tout en optimisant votre installation. Cependant, pour aller encore plus loin dans la valorisation de votre production, l’autoconsommation collective offre des opportunités bien plus étendues. En revalorisant l’énergie produite à d’autres structures proches, vous maximisez vos revenus et accélérez significativement le retour sur investissement de votre installation.
HubWatt accompagne chaque étape de votre projet d’autoconsommation collective avec une expertise complète pour garantir rentabilité et simplicité. HubWatt commence par analyser vos besoins spécifiques et évalue les opportunités locales, en intégrant l’ensemble des aspects financiers pour concevoir un modèle économique optimisé et une vision claire du retour sur investissement.
L’équipe prend ensuite en charge toutes les démarches administratives, juridiques et techniques, coordonne les différents acteurs et assure une mise en œuvre fluide et efficace, tout en installant des outils de suivi pour une gestion optimale des flux d’énergie. Enfin, HubWatt reste un partenaire actif dans la durée, en surveillant les performances, en ajustant les valorisations énergétiques et en identifiant de nouvelles opportunités économiques pour maximiser les revenus et garantir la pérennité de votre projet.